Orgasme ruiné

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il y a 8 ans

Pendant toute ma vie, j’ai toujours eu envie de me branler. Très jeune, je me branlais bien cinq ou six fois par jour, parfois davantage, déchargeant à chaque fois.

Bien avant 15 ans, je me suis rendu compte qu’il y a un moment où le plaisir monte mais où, en arrêtant de s’astiquer la bite, il reflue, ce qui permet de recommencer jusqu’à ce que ce soit prêt à revenir : nouvel arrêt, nouvelle reprise, etc., j’ai appris que cela s’appelle un orgasme ruiné, je ne connaissais pas le terme mais la chose m’était depuis longtemps familière.

Ce n’est pas éternel car, au bout de quelques heures, la queue devient moins raide, on se laisse gicler. Pour ressentir le plaisir de me branler, il me fallait bander ; jusqu’à 30 ans, il me suffisait de penser à une femme à poil, ou même à des seins nus, pour avoir une trique exigeant d’être rapidement décongestionnée. Plus tard, j’ai eu besoin d’imaginer cette femme en train de baiser ou de se faire enculer ; plus tard encore, à partir de mes 45 ou 50 ans, il m’a fallu des images, photos ou dessins : j’en ai collé sur des cartons, j’en ai toute une collection, que j’étalais devant moi dans le local où je me trouvais, chambre, bureau fermé à clé, toilettes ; mais aussi sur le tableau de bord de ma voiture ce qui m’a permis de me branler longuement en conduisant.

Après, j’ai découvert le plaisir du cul, que j’imaginais de plus en plus dilaté, et je suis passé de l’imagination à la pratique. J’avais une belle collection d’images car, à f o r c e de voir la même image, son pouvoir d’excitation diminue ; c’est comme avec une femme, à force de baiser, on a besoin de varier les plaisirs. À ce propos, je n’ai jamais cru aux positions du Kama Soutra, cela devient de la gymnastique, le SM, c’est bien mieux, mais il a sans doute, lui aussi des limites.

L’orgasme ruiné, je l’ai d’abord connu en me branlant, mais je l’ai beaucoup pratiqué en baisant, ce qui permet de faire jouir une femme, et d’en profiter pendant bien plus longtemps qu’avec une baise traditionnelle. Je me souviens de la première fois où j’ai baisé une femme que j’aimais ; nous avons batifolé pendant plus de deux heures, elle avait eu plusieurs orgasmes, sans que j’aie déchargé.

Partant de chez elle, j’ai commencé à me branler en conduisant puis, voyant que j’allais décharger, je me suis arrêté, suis sorti à poil dans la campagne et me suis fini en regardant passer les voitures dont les phares m’éclairaient fugitivement sans attirer l’attention des conducteurs. En voiture, on a le temps de se branler, avec l’orgasme ruiné, cela dure pendant des centaines de kilomètres.

Là encore, avec l’habitude et l’âge, il faut varier l’excitation, cela marche davantage quand je suis à poil, de jour comme de nuit mais, sans l’orgasme ruiné, j’aurais perdu des milliers d’heures de jouissance, pour moi et mes partenaires.

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